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Pour tout séjour en Bolivie de moins de trois mois, les voyageurs de nationalité française sont dispensés de visa.
Un passeport en cours de validité lors du séjour et valide 6 mois après votre date d’entrée sur le territoire bolivien suffit.
Passage de frontière
Un cachet d’entrée valant autorisation de séjour de 30 jours est apposé sur le passeport à l’arrivée dans le pays. Cette autorisation peut être prolongée gratuitement par tranche de 30 jours, jusqu’à 90 jours maximum de séjour par année calendaire, par les services de l’immigration.
Les voyageurs doivent exiger l’apposition de ce cachet dès leur entrée sur le territoire bolivien, même par voie terrestre. En effet, dans le cas contraire, il ne leur serait plus possible de quitter le pays sans avoir fait régulariser leur situation et s’être acquittés d’une amende avoisinant les 20 bolivianos par jour de dépassement.
Il est recommandé de s’inscrire sur le Site Ariane et de signaler sa présence soit en se rendant directement au Consulat de France
Infrastructure routière
Le réseau routier est peu développé. Les routes asphaltées sont les suivantes :
• La Paz/Guaqui, La Paz/Desaguadero, La Paz/Copacabana, La Paz/Viacha, La Paz/Oruro, La Paz/Uyuni, La Paz/Cochabamba, La Paz/Arica (Chili) ;
• Cochacamba/Santa Cruz (en très mauvais état) ;
• Sucre/Potosi ;
• Santa Cruz/Montero/San Javier, Santa Cruz/Samaipata ;
• Yacuiba /Villa Montes/Camiri ;
• Trinidad/Casarabe ;
• Oruro/Caihuasi.
L’accès aux autres villes se fait par des pistes sur lesquelles il est préférable de circuler à bord d’un véhicule 4×4.
Meilleures saisons
Les meilleures saisons pour partir en Bolivie sont avril-mai et septembre à novembre.
Seule exception : sur l’Altiplano bolivien, c’est de juin à septembre, soit pendant l’hiver austral. Attention cependant aux nuits fraîches de juin à août, surtout en juillet.
Décalage horaire
Devise
La monnaie nationale est le boliviano, indiqué par l’abréviation Bs, parfois encore appelé peso (son ancien nom).
Taux de change : BOB 6.946
Attention aux vieux billets recollés qu’on vous refilera parfois : ils sont valables, mais à condition que le numéro de série soit le même à droite et à gauche du billet.
Ne comptez pas trop sur les cartes de paiement pour payer vos dépenses courantes, vous ne pourrez les utiliser que dans certains hôtels, restaurants ou boutiques chic des grandes villes, ainsi que dans certaines agences de voyages/tour-opérateurs.
En revanche, vous trouverez dans la plupart des villes des distributeurs automatiques de billets (cajeros automáticos) acceptant les cartes Visa, MasterCard et Cirrus.
Electricité
Eau / Essence
Eau dans les stations service.
Faire son essence dans la station YPFB
Gaz
Il faut avoir une bouteille de gaz toujours bien pleine quand on est en altitude pour le frigo. Il a besoin d’avoir la bouteille pleine pour bien fonctionner.
Internet
Présent presque partout en Bolivie, l’Internet est cependant généralement lent, voire très lent – au point d’en devenir parfois inutilisable.
Dans une ville, il est toujours possible de se connecter chez Entel ou dans un cybercafé pour 2-4 Bs/h.
Beaucoup d’hostales et d’hôtels disposent du wifi, mais il ne marche souvent pas très bien, ou alors seulement à la réception.
Téléphone
– De la France vers la Bolivie : 00-591, puis indicatif de la ville et numéro du correspondant.
– De la Bolivie vers la France : 00-33 + numéro du correspondant (à neuf chiffres, sans le 0 initial).
À moins d’avoir acheté une carte sim locale pour votre téléphone débloqué auprès d’Entel, Viva ou Tigo (10-80 Bs), le mieux est de se rendre dans les centros de llamadas et boutiques de téléphonie possédant des cabines avec décompte du prix de la communication. Le mieux est de s’enregistrer sur Entel dans un des bureaux principaux ( et il y en a peu) en temps qu’étranger …
Numéros à contacter en cas d’urgence
- Police touristique : +591 2 222 50 16
- Police de secours : 110
- Police technico-judiciaire : +591 2 237 73 85
- Interpol : +591 2 2378462
- Secours médical : 118
Sécurité routière
Il convient d’adopter une attitude prudente sur les routes. Il est préférable d’éviter de circuler la nuit.
Il est conseillé d’utiliser exclusivement les services d’un radio-taxi et de ne jamais monter dans un taxi arrêté en pleine rue (risque de « faux taxi »), notamment aux abords des gares routières. Les faux taxis conduisent leurs victimes dans un endroit isolé afin que des complices (parfois de faux policiers) les dépouillent de leurs objets de valeur et de leurs documents de voyage.
Les mouvements sociaux fréquents et parfois de longue durée sont susceptibles de bloquer les routes, donc la circulation des personnes, y compris des touristes. Il est recommandé de se tenir informé de la situation et de ne jamais tenter de forcer les barrages.
On recense régulièrement des accidents – parfois mortels – de véhicules 4×4 d’agences de tourisme circulant sur le Salar de Uyuni. Il est fortement recommandé de sélectionner une agence de tourisme sérieuse (les recommandations sur les sites de voyages ne sont pas toujours fiables), de s’assurer du bon état général du véhicule et de refuser avec fermeté de voyager dans un véhicule qui ne disposerait pas de toutes les ceintures de sécurité
Délinquance
En cas de contrôle de police, de ne présenter que son passeport et de demander aux policiers de contacter immédiatement l’ambassade de France. En effet, de « faux policiers » (des individus qui parviennent à se procurer des uniformes de police) sont parfois présents dans les lieux touristiques (centres historiques, gares routières, ou à proximité des hôtels bon marché) et profitent de l’autorité conférée par l’uniforme pour isoler les passants et leur soutirer de l’argent par divers moyens.
fréquents.
Liste hôpitaux, médecins
http://www.allianzworldwidecare.com/hospital-doctor-and-health-practitioner-finder?CON=South_America
Vaccination
- vaccins universels (DTCP, hépatite B) ;
- fièvre jaune : vivement recommandé si vous allez en Amazonie ;
- typhoïde et hépatite A : nécessaires pour les séjours prolongés ;
- rage : fortement recommandé. De nombreuses attaques de chiens errants sont recensées en Bolivie depuis le début de l’année 2017. Les zones les plus touchées sont les agglomérations de La Paz et de El Alto.
La recrudescence de cas de rage canine a également été enregistrée sur l’ensemble du territoire. Les départements les plus touchés sont Santa Cruz, Oruro et Chuquisaca.
Moustique
Le paludisme est présent dans les zones rurales en-dessous de 2 500 mètres toute l’année et dans le nord du pays (départements de Beni et de Pando, en particulier), mais aussi dans le département de Santa Cruz.
Fièvre jaune
Une vigilance accrue est nécessaire compte-tenu de la présence de la fièvre jaune, dans le nord et l’est de la Bolivie notamment. La fièvre jaune est causée par un virus, transmis par un moustique. Les symptômes sont variables, allant du syndrome pseudo-grippal à la forme mortelle ; le traitement est alors symptomatique. Il n’existe pas de médicament préventif qui protège contre la fièvre jaune. La prévention repose essentiellement sur la prévention des piqûres d’insectes et sur la vaccination, par ailleurs fortement recommandée.
Dengue
L’épidémie de dengue reste persistante en Bolivie. L’usage des mesures de prévention (cf. ci-après) reste cependant indispensable pour les personnes souhaitant se rendre dans les provinces amazoniennes.
Cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques et se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). Il convient donc de respecter les mesures individuelles de protection, y compris pendant la journée : vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques. La dengue pouvant prendre une forme potentiellement grave, il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre. La prise d’aspirine est déconseillée.
Chikungunya
La transmission du chikungunya reste active en Bolivie et s’effectue par l’intermédiaire de moustiques infectés. Cette maladie se caractérise par des symptômes grippaux (fièvre, douleurs musculaires et articulaires). Le traitement est alors symptomatique. Il n’existe actuellement pas de traitement préventif ni vaccin.
Zika
Cette maladie est transmise par les piqûres de moustiques de type Aedes. Des cas de transmission du virus par voie sexuelle ont également été rapportés.
Les symptômes de la maladie sont généralement modérés (fièvre, maux de tête, douleurs articulaires, éruptions cutanées) et sont analogues à ceux observés au cours d’autres infections virales telles que la dengue
Ce qu’on a adoré
FRANCK
SOPHIE
ELEA
THIBAULT
Ce qu’on a moins aimé
FRANCK
SOPHIE
ELEA
THIBAULT